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Aldo

  • 1.72m, 64 kg, yeux bleu, cheveux longs bouclés style Anglaise, sportif, aime les soirées discothèque
18 juillet 2007 3 18 /07 /juillet /2007 23:01
Qu'est ce que une salle de bain de luxe?

Y a t'il besoin d'une robinetterie en or, posée sur un meuble en bois de rose, fixé sur un sol et murs en marbre, le tout éclairé par une lustre en cristal de Baccarat  dans un espace de 40m2 présentant un hamam et sauna pour obtenir une salle de bain de luxe.

Et bien non, il est possible d'obtenir une salle de bain de luxe avec des matériaux bas de gammes dans 7m2.

Le luxe de cette salle de bain tien sur le concept que les murs sont arrondit, c'est-à-dire pas de murs droit et d'angle droit. Ce sont les petit carreaux de pâtes de verres collés sur filet que l'on appel à tor "mosaïque" qui offre cette possibilité à épouser les formes.
Aussi il faut ajouter le mariage du bois avec la pâte de verre.

Tous ceci en images

A ne pas oublier l'éclairage.
Si on s'en rapporte au ruban de Möbius, on peut dire que cette salle de bain présente la particularité d'être réalisée en un seul mur!

Au commencement, ma soeur Rachel,propriétaire des lieux, désirait réaliser des travaux pour conforter sa maison. Nous avions optés pour une petite salle de bain sans fenêtre, accessible de la chambre, donc située dans le sasse, laquelle intégrerait le four et y présenterait un toilette.
Cependant c'était du provisoir, car en imaginant un couple et des enfants, ce confort ne conviendrait plus et donc il faudrait cassé pour refaire autre chose.













La fenêtre du fond de la grange nous invitat à y placer la salle de bain tout en positionnant le toilette dans le sasse.
La 1er étape a été de débarasser les lieux avec l'intention de ne pas dépasser de l'autre côté de la cloison en bois, laquelle était parralèle au mur de la fenêtre.
La cloison en bois vermoulue une fois auté nous insita à élargire la salle de bain de 50 cm.
A la vue du tracé réalisé au sol, mon frère Angélo me convaint de prendre les 80 cm restant du fond de la grange.
C'était parfait, car ce gaint de place permit que
l'emplassement du toilette puis du chauffe eau ne figurent plus dans le sasse.
Cela me permit de préserver l'environnement du four, en imaginant 2 autres portes de même type que celle exsistante.
Le sol de la futur salle de bain était propre mais avait une inclinéson de 6 cm (de la porte au meuble), et sa limitait la hauteur de la douche 1,92 m. De ce faite la pente est restée car il n'y avait pas beaucoup à gagner en hauteur, de plus il n'était pas possible de descendre le sol plus bas car s'aurait été plus bas que l'évacuation des égoût,
sinon il aurait fallut refaire les évacuations. Autrement c'était le planché du grenier avec les solives qu'il fallait réaussé.

Mon amie Hélène me fit savoir que se passage dans le sasse donnerait une impression d'écurie. Cependant l'accent des travaux est mit sur la restauration, et non pas la rénovation. Afin de garder autentique le four et son environnement, il était prévu de l'éguayé par environ 4 couleurs, rouge pour le sol, plafont en jaune, portes en bleu et vert au mur, ou autres (travaux à réaliser).

Une fois le positionnement du toilette, chauffe eau et de la douche défint, les tracés au sol s'effectuaire.

Les cloisons en placoplâtre ce sont réaliser au suivit des tracées.


Et vint l'idée d'arrondir les murs pour donner un style. La réalisation d'un plan à l'échel 1/50e fut le démarage de ce qui allait me prendre le tête pendant 22 mois. Le plan d'origine n'est pas conforme à la réalité. Le ban de la douche était prévu arrondi dans l'angle et en pâte de verre, la partie droite de la douche devait être un miroir d'1m de large sur 1m96 de haut, la  vasque sur la droite pour laisser une colone sur la gauche, les arrondis des angles de la fenêtre et d'autres petits détails.

 
















Ienêtrel aurra fallut tous ce temps pour prendre une première douche, 4 mois de plus pour qu'elle soit totalement fini. Dire qu'au début des tavaux en octobre 2005, la salle de bain était prévue opérationelle pour le noël venant. En réaliter la douche fut opérationelle le 27-07-2007, juste 1an et 10 mois plus tard, rien que ça. Le pire c'est que ce n'est pas encore fini.

Les travaux commencères ainsi.
Au départ, Rachel voulait changer la fenêtre pour une en double vitrage, car la fenêtre
était couverte de pointes et d'agraffes, salle, fendue et sans carreaux. Elle évoquait les faits qu'elle est fichue car ça frotait et il fallait forcer deçus la poignée pour l'ouvrir.


 




sur cette photographie la fenêtre présente déjà bien car il n'y a plus de pointes et agraffes, mais les carreaux et la tablette.






IL a fallut la convaincre que ce n'était qu'une question d'apparence, et qu'une fois restaurée elle retrouverait une telle beautée que nulle autre fenêtre ne pourrait luis prendre sa place
, car compte tenue de sa petite taille elle est tout de même réalisée en 2 battants. Mon refut lui a fait comprendre qu'une fenêtre en doubles vitrages n'aurait rien de jolie, car elle serait en 1 seul battant, donc pas beau et pas pratique. Ou bien en 2 battants mais avec une telle largeur de montant que cela rendrait orible la fenêtre pour cause de tout petits carreaux. Extérieurrement ça n'aurrait pas été en armonie avec la fenêtre de la chambre, n'y avec le style ancien de la maison. Et consernant l'isolation, la perte de chaleur est dérisoir conte tenu de la grande isolation du plafond et du mur. De plus, elle offre justement une aération sufisante afin d'évacuer la condansation, et garantir l'absnence de moisissure. Et pour ce qui est de la transparence des carreaux, un rideau fera l'affaire. Elle a conclue en disant "ce n'est pas grave si on te vois nue au travaire". Convaincue.


Au fur et à mesure de la réalisation, apparaîssait divers problèmes,
tel les évécuations, les matériaux, l'estétismes, etc 
Par exemple :
le mur de la fenêtre était prévu en 4 vagues, qui était dofférant du plan, car l'intention était d'obtenir le creux au niveau de la fenêtre, mais il aurait fallut finir contre la porte par une demi vague  ou une vaguette (vague 2 fois plus petite). Michel mon copin menuisier à proposée de réaliser 2 vagues, tros grand à mon goût. Puis, à force de tatonnement, vint l'idée d'en réaliser 3, cependant la 2èmes ce situait devant la fenêtre, et me donnait l'impression que l'arrondi débordant gènerrait à l'ouverture de la fenêtre contrairement à un arrondi entrant. Toutefois c'était la mailleur façon de réaliser des vagues entières et de tailles proportionnelles aux autres. A nouveau Michel a été solicité et ma répondu que ça ne gènerait en rien. Cette petite étude d'estétisme à interrompu le chantier pendant 3 semaines.
C'est la raison pour laquelle le chantier fut long, car tout fut comme ça.

Les autres problèmes furent :


    Le meuble était prévu avec une colone haute sur la moitié droite, et le vasque posé sur l'autre moitié, mais Michel disait que ça ferait trop volumineux, qu'un meuble bas suffirait.

Le plant du meuble était au départ prévu en stratifié tout en se rapprocher de la couleur du sol, mais à force de cherches infructueuses cette intention a été abandonner.
Puis l'idée fut qu'il soit en chêne, mais il ne falait pas que les portes du meuble soient identiques, donc des recherches de portes de teintes semblable au sol se sont faites. Ensuite Michel m'a fait comprendre qu'il n'avait pas le temps de réaliser ce plant en chêne.
Finalement, en débatant avec lui qui disait avoir vu un plant de meuble carreler sur catalogue, et après avoir rechercher ce catalogue qui ce trouvait dans un bureau d'entreprise à Cirey sur Vezouse 
l'obtion pâte de verre l'emporta.



















Après mesures, le meuble pouvait comporter 3 caisons de 40 cm de larges par 60 de profondeurs. La rangée de tiroirs n'a pas été retenue. Pour cela il fallait le positionner contre le mur de droite à cause du bié du mur de gauche. Cependant
seul un couvre joint de 15 cm aurait été mit à gauche, et la porte de droit n'aurait pas pus s'ouvrir plainement. Mon goût disait qu'il devait être centré avec 1 couvre joint de chaque coté. Et le caison de droite devait être coupé en bié c'est-à-dire parallèlement au mur, Michel disait qu'il était mieux de faire ce caisson moins profond (40cm) mais d'écaire, plutôt qu'en bié de 60 cm. Le bié de 60 cm l'emportat.

Pour
l'épaisseur du plan du meuble, Michel prévoyait qu'elle fasse environ 70 mm (3 carreaux de pâte de verre) et que le champ soit plat afin de bien marquer son étaisseur. Pour moi il devait être arrondi pour garder le style, c'est-à-dire ne pas avoir d'angle droit. Le sujet a été évoqué avec Rachel qui pensait comme lui, mais il ne m'ont pas convaicu.

Le raccord du plant du meuble et du mur se présenta de la même façon, il fallait faire un arrondi. Après avoir tatonner sur le taille de l'arrondi, une fois trop grand puis trop petit, la bonne proportion se réalisa en plâtre. Au vu du résultat, Michel dit "c'est de la merde", c'est vrais que ça ne faisait pas terrible, mais on était d'accord sur le fait que la pâte de verre devait améliorer le rendu.

Et vint le tour de la pose de la pâte de verre. Là encore, il fallait que de face de droite et de gauche du meuble, la mosaïque suive son alignement sans se croiser. Et donc il a fallut tricher afin que la pâte de verre de droite vienne dans l'alignements de celle de gauche tout en restant dans l'alignement de celle de face.
Ce résultat soulevait un autre ennui qui était le raccord des 2 fonds de droite et de gauche. auquel il n'y avait pas d'autre solution que de tailler les carreaux de la mosaïque en bizeau.

Finallement le plan en mosaïque rendait mieux que ce que nous n'imaginions, et c'est même lui qui accentue l'originalité.


    Lorsque les 3 portes ont été fixées, cela me donnait une impression trop volumineuse de bois, cela m'a fait apparaître que mon idée 1er de faire une colone à gauche aurait cassé la forme et trop assombrit le tout.


    Il en a été de même pour le banc du fond de la douche ; en pâte de verre sur toute la profondeur, puis dans le coin droit, finalement en chêne sur toute le fond et amovible, etc...


    La vasque, au départ elle devait être petite comme un lave main pour bénéficier d'avantage de place sur le plant. Puis un Corine et Lorent m'ont fait comprendre qu'une plus grosse serait mieux. Et entre celle commendée qui n'allait pas et les autres qui ne plasait pas, etc...


    la robinetterie, pas moyen de trouver une colone de douche en laiton vieilli...


    Le miroir, il me le fallait
  ovale dans un encadrement en chêne.
Bingo, en faisant la brocante de Lunéville avec Michel, on aperçoit ce miroir à 30 €.
A mon avit il était trop petit, et la teinte trop foncé, lui disait qu'il était de bonne taille ,et que l'encadrement en hêtre ne se vérait qu'à oeil d'expert.
Il l'a marchandé pour 25 € alors que pour en réaliser un neuf il aurrait fallut déboursser 300 €.
Reteinté armonieusement au chêne, il est trés bien là.


    Les spots, au nombre de 3 était prévus. Le 1er dans l'axe du couloir, le 2e entre le meuble et le mur d'en face, puis le 3e dans l'axe de l'entrée de la douche. Le spot de l'entrée fut posé au milieu, cependant s'aurait été un éclérage traditionnel, qui me donnait le sentiment de gâcher tous ce travail, comme si la cerise manquait sur le gâteau.
Là encore il y avait bien cette envie de surprendre, mais en traçant l'emplassement des spots là où il sont, ça m'inquiétait que ce soit mal éclairé. Toutefois il était toujours possible de les redéplacer sans alourdir les travaux, car une heure sufisait pour les déplacer.
Une
fois les spots raccordé au réseau électrique avec les 2 patères, mon cousin Richard fit les branchement.
A première vue c'était correcte, mais le jour ne nous permettait pas de bien aprécier l'
éclairage .
Par contre
quand la nuit vient, avec Dean (mon cousin) en 1er spectateur ça nous a épaté de voir l'éclairage transformé les lieux, époustouflé par ces zone d'ombres et de lumières, on était ébahit par le résultat. Le hasard fut que l'orientation des spots pouvait être dirigé sur le bois, de façon à valoriser d'avantage le chêne, dire que des ampoules à 60° placés dans les axes avaient été imaginer pour mieux diffuser la lumière, celles-ci à 38° situés dans les arrondit vont trop bien, à voir avec celles à 8°!

    Le banc, destiner sur le fond de la douche fût penser pour pouvoir se laver assis en cas de douleur, fatigue, envie ou autre. Il me semblait évidant que les lates qui le constitue soient toutes sintrées en suivant le mur. Leurs tailles furent inspirer par celle du ban que Michel à chez lui. Pour des raisons plus simple de fabrication, Michel disait que seul la celle du fond devait suivre l'arrondi et que les autre serait droite (car c'est quant même lui qui fait le travail). Pour moi c'était hor de question, elle devait être toutes cintrées, et si il me le faisait à son idée il ne serait pas possé. Alors mon souhait l'emporta.

 












Du fait que la pâte de verre est un matériau froid, s'a parraissait difficile de s'assoir sur le banc en s'adaussant dans l'arrondi du mur, bien que sa taille fut déterminer de façon à recevoir un dos. L'astuce a été de coller des couvres joints de chêne.

    L'étageaire de la douche, penser au nombre de 2 et situées chacune dans les arrondit au dessus du banc, une seul a été retenu dans l'arrondi de l'entrée de la douche.

    Les 2 étageaires de meubles furent posées comme penser au départ, bien que Michel pensait que cela ferait trop de bois.

    Le tabourait appartien à Michel qui l'avait réalisé lors de ses études en menuiserie. Cependant il est au carré, le mien devrat être arrondit  et à 3 pieds. A voir, Car a mon avis il ne vas pas aprécier.
    Là aussi un dossier, bien que pas aussi nécessaire que le banc.
 
    La fenêtre, oui cette fameuse fenêtre que Rachel voulait changer. Elle est le résultat du travail du menuisier Meuer ou Mener ou encore Memer qui,
selon les traces écrites, exsersait sa profession à Barbas en 1920. Pour préserver cette autenticité, l'écriture fut restaurer.


   












L'intérupteur et la prise proviennent de chez Leroy Merlin, mais avant de les trouver, ils y a eu bien des recherches sur internet.










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27 mai 2007 7 27 /05 /mai /2007 22:41
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Lors de sa réouverture en 2005, la voûte était affaissée et le sol déformé. A 2 reprises,une dizaine de briques du sol avait été changée et d'autres recalées, car par dessous, une galerie de souris avait probablement aidé à sa déformation. Au fur et à mesure de son utilisation les briques de la voûte descendaient.C'était le signal de la restauration.
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De plus, le four était fissuré et comme il est à l'intérieur
de la maison, ça enfumait les lieux par le derrière.
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Les travaux commençairent par l'extérieur en l'ouvrant par le dessus de la voûte, tout d'abord en autant les pierres qui forment l'habillage puis en enlevant toutes les briques qui descellaient. Seules celles situées après la porte n'ont pas été réhaussées car elles sont imbriquées dans le mur.

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Une fois ouvert, c'était l'occasion pour refaire le sol. Alors les briques furent enlevées ainsi que la couche sur laquelle elles reposaient. Des 100 briques qui constituaient le sol d'origine, seules 10 n'étaient pas cassées.

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Le sol a été abondamment arrosé pour être tassé afin d'assurer sa stabilité future.
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Puis, 3 plots ( un au fond et 2 sur les côtés ) ont servi, avec la pierre de taille de la porte, de niveau pour tirer la chappe dont
une ligne séparatrice .Comme il fallait être à l'intérieur du four, le côté gauche à été réalisé, une fois sec ça été le côté droit.
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Cette dernière est réalisée par la récupération de l'ancienne chappe avec laquelle fut ajoutée de la chaux pour en faire un mortier.
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Une fois la chappe sèche, la pose des briques suivit en utilisant des calles sur presque chaque face pour les écartements.

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Arrivait le tour des joints même très liquide ça ne coulait pas correctement et il fallait bourrer et bourrer avec une spatule, il aurait mieux fallu faire des joints de 5mm au lieu des 3 réalisés.

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Et vint le tour de la voûte. Sans vraiment savoir comment la restaurer il était prévu de réaliser un coffrage en bois. Cependant, comme il manquait que quelques briques à certains rangs, celles-ci furent changées et scellées avec un ciment réfractaire.
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Les rangs manquant davantage de briques ont suivit le mode de départ.
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Dans la foulée, un 1er rang fut réalisé, puis 2 et 3, et au fil de l'avancement disparaissait l'idée du coffrage.

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Dans les derniers rangs, des briques ont été tronçonnées pour être biseautées afin de mieux s'imbriquer les unes aux autres. Au final, la voûte s'est faite à l'oeil.
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Pour l'extérieur du four, une chappe fine et liquide a été coulée par dessus. Et les fissures laissant passer les fumées ont été creusées et rebouchées. Malheureusement, les fissures ont réapparues dès les premiers feux et la plus importante a été refaite 3 fois, en vain. Problème à revoir autrement !
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Pour colmater les fissures, la plus grosse a été creusée à l'intérieur.

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Puis, un crépis a suivi, mais les fumées passent toujours

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A part ça, ça fonctionne très bien pour poser les pizzas et les reprendre, il n'y a plus de quoi les déchirer ou de devoir faire différentes manoeuvres pour les ressortir du four.

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